Acné solution

Le SIBO

Le SIBO, acronyme de Small Intestine Bacterial Overgrowth, est lorsqu’il y a trop de bactéries présentes au niveau de l’intestin grêle.

 

Pour une personne n’ayant pas le SIBO, les bactéries se trouvent en abondance dans le côlon, et très peu dans l’intestin grêle. En cas de SIBO, les bactéries ont anormalement envahi l’intestin grêle, un lieu qui n’est pas apte à accueillir autant de bactéries.

 

Avoir le SIBO ne signifie pas nécessairement avoir de « mauvaises » bactéries mais des bactéries qui se trouvent en excès, et surtout au mauvais endroit.

 

Le problème d’avoir le SIBO, c’est que ses bactéries interfèrent avec une digestion normale, qui peuvent être associées à des dommages de la porosité intestinale, provoquant par la suite des sensibilités et intolérances alimentaires.

 

Ils interfèrent également à la bonne absorption des aliments, qui au fil du temps peut conduire à des carences tels que le fer et vitamine B12.

 

Ses bactéries diminuent aussi l’absorption des graisses, en entraînant des carences en vitamines A, D et E. Qui a leur tour, une carence en vitamine A peut entraîner un mauvais système immunitaire, des problèmes de vision surtout nocturne. De même, pour les autres vitamines apportant chacun leurs symptômes de carences.

 

Le principale symptôme étant une fermentation excessive.

Lorsque vous avez trop de bactéries dans votre intestin, les bactéries vont commencer à se nourrir de particules non digérées issues de l’alimentation. Les bactéries provoquent une fermentation, produisant des gaz dans l’intestin grêle. Les bactéries vont même s’alimenter bien avant que votre corps ne puisse commencer à digérer.

 

Quand l’intestin grêle subit une belle fermentation, les symptômes évidents sont que vous allez avoir des flatulences, éructations, ballonnement, spasmes, troubles du transit et de la digestion…

 

Cette fermentation peut causer des ballonnements sévères. Et ceci, même si vous êtes mince, les ballonnements peuvent être si forts que vous avez l’impression d’être enceinte de plusieurs mois.

 

Un autre problème qui se produit parfois avec le SIBO est une douleur abdominale sévère. Ceci est en partie dû au fait que les intestins sont sensibles à la pression, de sorte que même une petite quantité de gaz peut causer de la douleur. 

 

Ces gaz sont créés par les bactéries du SIBO. Ces gaz sont développés par la fermentation que les bactéries réalisent en les consommant. Pour le SIBO, nos aliments sont des substrats énergétiques. Pour nous, se sont une fermentation avec de multiples symptômes digestifs. Le type de gaz peut être du méthane, hydrogène, méthylacétate, qui sera possible de détecter via un test respiratoire. Selon le gaz que l’on détecte cela va déterminer un type de SIBO.

 

La douleur peut aussi être causée par une hypersensibilité viscérale. On décrit cette sensibilité viscérale en la comparant à un coup de soleil. Lorsque votre peau devient brûlée, même le moindre contact fait mal. Ceci est une hypersensibilité. Et bien, la même chose peut se produire lorsque votre intestin est chroniquement endommagé, ce qui rend la douleur plus intense.

 

Deux symptômes classiques de SIBO sont soit la diarrhée ou la constipation et parfois l’alternance entre les deux. Il est également possible d’avoir à la fois un taux élevé d’hydrogène et de méthane, ce qui entraînera une alternance de diarrhée et de constipation. Ceci n’est pas rare en cas de SIBO.

 

Il faut également prendre en compte des symptômes annexes, c’est à dire autres que digestifs. L’intestin est lié à pratiquement toutes les autres parties du corps, et le SIBO peut provoquer un large éventail de symptômes, par exemple : de dépression, troubles de l’humeur, neurologiques, manque de concentration… mais aussi : des éruptions cutanées de type acné, eczéma, rosacée, dermatite séborrhéique, etc…

 

Le SIBO ne sera pas à confondre avec l’intestin irritable. L’intestin irritable est diagnostiqué par un médecin généraliste, gastro-entérologue, ou suite à une fibroscopie, coloscopie, examen des selles, etc. Le SIBO, lui, se détecte à ce jour uniquement par un test respiratoire après ingestion d’une préparation adaptée. En France, ces tests sont encore mal développés auprès des professionnels de santé et ne sont pas validés scientifiquement. Aux Etats-Unis, Canada, voir en Angleterre, les tests se développent au milieu hospitalier et auprès de gastro-entérologue. Cela dit, en France, un professionnel de santé connaissant très bien le SIBO pourra vite le suspecter et réaliser un test alimentaire pour vérifier si les symptômes s’améliorent.

 

« Qui dit digestion, dit alimentation. »

Rappelez-vous que les bactéries sont des êtres vivants. Comme tous les êtres vivants, les bactéries doivent se nourrir de quelques choses. Les bactéries dans nos petits intestins vivent principalement de certains glucides que nous mangeons.

 

Ainsi, lorsque vous mangez des sucres fermentescibles, vous n’êtes pas seulement en train de vous nourrir, mais les bactéries aussi se nourrissent.

 

Cela ne signifie pas que vous ne devriez jamais manger de glucides, certainement pas. Rappelez-vous, qu’il est normal et sain d’avoir un certain niveau de bactéries dans notre intestin. Le problème se produit lorsque vous avez un trop grand nombre de glucides fermentescibles dans votre intestin, nourrissant ainsi des bactéries qui vont se développer en prolifération. Et ceci vous reconduira au SIBO, qui à son tour peut conduire à d’autres problèmes sur votre santé et votre peau.

 

Gardez à l’esprit que certains glucides sont bien pires que d’autres, et il y a beaucoup de raisons pour lesquelles vous pourriez avoir des glucides en excès dans l’intestin grêle.

 

Un régime alimentaire pauvres en glucides et peu fermentescible est le traitement de base pour traiter le SIBO de manière efficace et primordiale. Prendre des compléments alimentaires, établir des soins naturels sans même changer l’alimentation ira vers un échec.

 

Et malheureusement c’est souvent ce qu’il se passe.

Beaucoup de personnes ne veulent pas se tourner vers un changement alimentaire, car cela perturbent leurs styles de vie. Il y a certaines exclusions tels que l’alcool, les pommes de terre, les spaghetti, le pain… Ils se sentent exclues de la société, de leurs amis et de leurs familles. Ainsi ils se tournent vers des compléments alimentaires sans modifier l’alimentation. Sauf que l’un ne fonctionne pas sans l’autre, surtout si l’hygiène de vie n’est pas régulière. L’alimentation, le sommeil, le stress, l’activité sportive… sont la base d’une bonne récupération.

 

Ainsi, il est extrêmement important de comprendre ses changements alimentaires, et surtout de l’accepter, au risque une nouvelle fois de se retrouver vers un échec thérapeutique. Aujourd’hui il existe de nombreuses recettes pauvres en glucides et peu fermentescible, que cela soit via les livres, via les blogs… surtout si vous installez un traducteur automatique des pages internet, dans ce cas, vous aurez encore plus d’idées recettes via des blogs américains où le SIBO a bien évolué depuis de nombreuses années. Il n’y a vraiment aucune exclusion de vie sociale, il y a simplement de nouvelle base d’hygiène de vie à adapter. Cela demande à changer et à évoluer personnellement. Et si vous vous sentez mieux, alors ça se fera naturellement, et même vos amis copieront vos idées recettes tout à fait saines pour tous.

 

Si en revanche, vous décidez de prendre des compléments, sachez qu’il sera important d’exclure ceux qui alimentent le SIBO tels que :

L’aloé vera, la guimauve, l’orme, la réglisse (sauf si déglycyrrhizinée), le psyllium, l’agar-agar, D-mannose, glucomannane, sulfate de chondroitine, sulfate de glucoasmine, n-actétyl glucosamine, les graines de chia, les graines de lin, les graines de chanvre, les graines de caroube, les sons d’avoine, de blé, de mais, les pectines, la gomme de guar, xanthane, la maltodextrine, l’amidon, la carraghénane, l’agave, le dextrose, les édulcorants, tous les polyols, mannitol, sorbitol, xylitol… les prébiotiques à partir de FOS, GOS…

Lire les étiquettes vous sera plus qu’utiles !

 

MAIS PAS SEULEMENT…

Ce qu’il est possible de réaliser à ce jour est de limiter les facteurs de risque d’une dysbiose en adoptant une alimentation saine et équilibrée.

 

Mais pas seulement, des études montrent que la flore intestinale ressent des bénéfices en pratiquant quotidiennement une activité physique et en limitant les facteurs de stress et d’anxiété.

 

Par exemple subir un stress prolongé, de longues durées, affecte le corps entier. L’organisme va produire des sécrétions digestives plus acides, et les mouvements de notre intestin va ralentir. Une répercussion sera immédiate sur la flore intestinale. Les conditions de vie deviennent alors propices aux bactéries ennemies et aux parasites, qui se développent plus facilement et plus rapidement.

 

Avoir l’estomac noué, une boule au ventre, un noeud à la gorge ? Toutes ces expressions ont une signification bien réelle ! Notre ressenti a une signification sur notre système digestif et donc notre flore.

 

Si vous vous retrouvez dans ce cas là, on se tournera vers le chapitre qui suivra « Le stress, une cause indirecte de l’acné – alors que faire ? »

 

A voir et à revoir les chapitres :

  • L’alimentation industrielle
  • FODMAP
  • Profilage alimentaire

 

Pour aller plus loin…

Cela va dépasser le programme Naturel Acné Solution, car c’est un sujet long et encore sous études, mais n’hésitez pas à vous faire accompagner par un professionnel de la santé qui sera vous guider pas à pas sur votre alimentation.

Comme il manque d’informations sur le sujet, je vous partage quelques-unes de mes connaissances.

 

Le régime pauvre en FODMAP est régulièrement indiqué en première intention. La plupart du temps, la diète FODMAP est suffisante pour diminuer les symptômes.

 

Il existe la seconde diète que j’ai cité plus haut : le régime en glucides spécifiques (RGS) qui a démontré un taux de réussite de 84% pour les maladies inflammatoires de l’intestin et au SIBO.

 

La troisième diète existante, spécifique au SIBO, va encore plus loin. Elle incorpore ces 2 régimes : RGS + FODMAP. Conseillé pour les SIBO résistants et sévères.

 

Cette diète est donc basée sur la diète FODMAP et et RGS (Régime en glucides spécifiques). Ces deux régimes thérapeutiques sont combinés dans le régime Bi-phasic SIBO pour aider à éliminer la prolifération bactérienne de l’intestin grêle.

Il y a principalement deux phases, une première phase de réduction et d’élimination, puis une seconde phase de réparation.

 

Il est facile de penser que l’on a un SIBO car cela regroupe des symptômes digestifs très vastes et communs du quotidien. Ce qui diffère est l’endroit où l’on souffre et le niveau de douleurs qui est plus intense et constant, jour après jour, nuit après nuit.

Pour diagnostiquer un SIBO, il sera nécessaire de réaliser :

  • un questionnaire approfondi avec un professionnel de la santé connaissant le SIBO
  • un test respiratoire détectant certains gaz spécifique du SIBO

 

Ce test respiratoire est disponible soit :

  • à la demande de votre médecin vers un gastro-entérologue ou service hospitalier réalisant le test respiratoire du SIBO via la machine Quitron (à ne pas confondre avec le test respiratoire Helicopter Pylori) – vous trouverez la liste ICI
  • commander un test respiratoire en Europe :

http://www.smartnutrition.co.uk/ibs-gut-disorder-clinics/digestive-testing/sibo-small-intestine-bacterial-overgrowth-breath-test/

Choisir test SIBO Breath Test Europe BIOSIBO

Prix : 173 £ – 194 €

12 échantillons d’haleine prélevés sur 3 heures.

Votre test arrivera avec les instructions complètes.

 

A savoir : Certaines personnes auront entendu parler des tests respiratoire créés par le Dr Donatini, via des thérapeutes formés à l’ECIM. Ayant de très mauvais retours clients depuis des années, je ne conseillerais pas de réaliser ces tests. Ils sont extrêmement différents de ceux qui ont été étudiés scientifiquement dans les autres études. Le protocole, le matériel utilisé et les résultats d’analyses sont très différents et incomplets. Les études du test respiratoire du Dr Donatini ont été réalisé par le Dr Donatini lui même. Cela manque d’impartialité. Dernier point qui blesse, les thérapeutes conseillent régulièrement un complément comportant des champignons et huiles essentielles qui sont très mal supportés, et auquel ils touchent une commission à chaque vente.

 

Avant de faire le test, il faut :

  • A jeun, depuis 12 heures avant le test. Seule l’eau peut être consommée (eau du robinet accepté).
  • A éviter les aliments énumérés ci-dessous 24 heures avant le test.
  • Ne pas fumer, y compris la cigarette électronique, pendant au moins 1 heure avant ou à n’importe quel moment du test.
  • Aucune activité physique (sport) et endormissement 1 heure avant et à n’importe quel moment pendant l’essai.
  • Aucun traitement antibiotique récent (-1mois), ou maladie de type gastro, intoxication alimentaire, etc. Aucun traitement IPP 7 jours avant le test (Inexium, Inipomp, Mopral, etc.)
  • Les probiotiques (en comprimés, en poudre ou sous forme de capsules) ne doivent pas être pris au moins 4 à 5 jours avant votre test du SIBO.
  • De préférence, éviter de prendre des vitamines, des minéraux, des laxatifs ou des anti diarrhéiques 24h avant le test.
  • Vous ne devez pas avoir eu une coloscopie (ou fait un lavement) au moins quatre semaines avant le test.
  • Brossez-vous les dents 2 heures avant votre passage du test du SIBO.

 

  • Dans certains cas de constipation chronique, il peut être nécessaire de suivre les restrictions alimentaires pendant une journée supplémentaire.

 

A EVITER 24h avant le test (une journée complète avant le test) :

  • Produits céréaliers : Produits à grains entiers, y compris les céréales et les toasts melba, les sons ou les céréales à haute teneur en fibres. (sauf riz)
  • Fruits : jus de fruits, compote de pommes, abricots, bananes, cantaloup, cocktail de fruits en conserve, raisins, 
  • melon miel , pêches, pastèque. Fruits crus et secs comme les raisins et les baies. Yogourt qui contient des fruits.
  • Légumes : jus de légumes, pommes de terre, germes de luzerne, betteraves, haricots verts / jaunes, carottes, céleri, concombre, aubergine, laitue, champignons, poivrons verts / rouges, courges, courgettes.
  • Légumes de la famille des crucifères : brocoli, chou-fleur, choux de Bruxelles, chou, chou frisé, bette à carde, haricots, lentilles, etc.
  • Noix, graines, haricots : Toutes les noix, graines et haricots, ainsi que les aliments qui peuvent contenir des graines.
  • Tous les produits laitiers (sauf les œufs) : lait, fromage, crème glacée, yogourt, beurre. 
  • Tous les condiments, les épices et les herbes (sauf le sel et le poivre)

 

Vous pouvez consommer :

  • Toutes les viandes, volailles, poissons, et fruits de mer
  • Du bouillon de viande (mais, pas de bouillon d’os ou bouillon de légumes)
  • Des œufs
  • Toutes les graisses et huiles (par exemple: huile de coco, huile d’olive, toutes les huiles végétales, le ghee)
  • Du riz blanc cuit
  • Sel et poivre
  • Café noir et thé

 

Suggestions de repas à consommer la veille du test :

  • Poulet cuit au four ou grillé ou dinde. (Sel et poivre seulement)
  • Poisson cuit ou grillé. (Sel et poivre uniquement)
  • Riz blanc cuit à la vapeur.
  • Des œufs.
  • Bouillon de poulet.

 

Enrichir son alimentation en probiotique

 

Selon la définition de l’OMS, « les probiotiques sont des micro-organismes vivants qui, lorsqu’ils sont ingérés en quantité suffisante, exercent des effets positifs sur la santé, au-delà des effets nutritionnels traditionnels ».

 

L’usage de compléments alimentaires est souvent préconisé pour restaurer naturellement la flore intestinale par les probiotiques et/ou les prébiotiques.

Les prébiotiques ne sont pas à confondre avec les probiotiques.

 

Les probiotiques sont des bactéries, donc des micro-organismes vivants comme ceux déjà présents dans le microbiote intestinal. Par exemple via les aliments fermentés : kéfir, kombucha, chou fermenté… 

Dans les complément alimentaire, cela peut-être : Lactobacillus Reuteri, Lactobacillus rhamnosus, Lactobacillus acidophilus, Streptococcus thermophilus, Bifidobacterium bifidum…

 

Alors que les prébiotiques sont des composés contenus dans notre alimentation, principalement à partir des fibres et qui vont servir de nourriture au microbiote intestinal. Par exemple la banane, oignon, ail, artichaut, brocoli… 

Dans les compléments alimentaires, cela peut-être : fructo-oligosaccharides (FOS), galacto-oligosaccharides (GOS), inuline…

 

Les produits contenant à la fois des probiotiques et des prébiotiques sont appelés « symbiotiques ».

 

L’erreur serait de penser que toutes les fibres sont des prébiotiques, ce qui n’est pas le cas ! Ceux-ci doivent, en plus, avoir un effet bénéfique sur notre santé. Or, définir et quantifier cet effet bénéfique est difficile, comme pour le probiotique.

 

Parfois, faute d’études spécifiques, l’effet bénéfique est supposé, mais pas prouvé. Par exemple, les haricots verts, qui sont riches en pectine, en cellulose et en lignine, pourraient être considérés comme des prébiotiques, mais leurs effets bénéfiques, hormis la régulation du transit, n’ont pas été scientifiquement prouvés. Le haricot vert n’est donc pas, au sens strict du terme, un prébiotique.

 

Aujourd’hui, les produits pouvant être vendus comme prébiotiques sont l’inuline, les fructo-oligosaccharides (ou FOS), les galacto-oligosaccharides (ou GOS) et le lactulose.

 

MAIS avant de se lancer dans les compléments alimentaires, il serait bien de regarder de plus près notre alimentation afin de s’assurer que nous en consommions. Nous pouvons retrouver des prébiotiques dans les légumes, les céréales complètes, les herbes et épices.

 

Les prébiotiques contenus dans les aliments sont produits par divers familles :

 

  • les Amidons Résistants : sucres lents complexes constitués de longues chaines de glucose, non digérés dans le petit intestin
  • les Fructanes : sucres lents complexes dans lesquels il y a une association d’éléments appelés fructose et saccharose. Deux catégories principales en ressortent, les fructo-oligosaccharides et l’inuline.
  • le Béta-Glucane : sucre lent complexe constitué de longues chaines de glucose reliées entre-elles par des maillons bêta.
  • les Fibres : fibres alimentaires classiques qui ne peuvent pas être digérées ou absorbées dans le petit intestin. Elles parviennent intactes dans le gros intestin.
  • les Polyphénols : divers familles dont les flavanoides, les anthocyanes, les tannins.

 

Chacune a un rôle bien spécifique sur la flore intestinale, d’où la raison de varier son alimentation.

 

Voici quelques aliments riches en prébiotique :

Les aliments suivis de « + » sont particulièrement riches en prébiotiques et/ou scientifiquement prouvés.

Les aliments en italique sont riches en FODMAP (selon Monash University).

 

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